L'ÉCO-INNOVATION

L’ÉCO-INNOVATION, UN LEVIER DE COMPÉTITIVITÉ POUR LES ENTREPRISES

L’éco-innovation constitue une opportunité pour les entreprises innovantes mais elle représente bien souvent un investissement important pour les industries. Une étude récente souligne les fortes attentes sur le sujet dans un contexte de crise économique. Réduction des coûts, création de valeur, maintien de l’activité sur les territoires… Les préoccupations sont considérables.

Afin de favoriser les dépenses dans le domaine, les stratégies nationales de soutien se sont multipliées sous l’impulsion de l’Union Européenne. A titre d’exemple, le programme européen Éco-innovation des PME doté d’un budget d’environ 220 millions d’euros accompagne des produits “qui ont fait leurs preuves” d’un point de vue technique et concourent à un meilleur usage des ressources naturelles pour une croissance durable.

L’investissement de nouveaux dispositifs concerne désormais un spectre plus large de secteurs, de l’amélioration des matières à l’optimisation des technologies dans les processus de production et de consommation. Plusieurs freins néanmoins : la disponibilité de solutions techniques et de personnels qualifiés, le financement et l’incertitude du marché.

Alors, utopie ou réalité ?

L’éco-innovation constitue une opportunité pour les entreprises innovantes mais elle représente bien souvent un investissement important pour les industries. Une étude récente souligne les fortes attentes sur le sujet dans un contexte de crise économique. Réduction des coûts, création de valeur, maintien de l’activité sur les territoires… Les préoccupations sont considérables.

Afin de favoriser les dépenses dans le domaine, les stratégies nationales de soutien se sont multipliées sous l’impulsion de l’Union Européenne. A titre d’exemple, le programme européen Éco-innovation des PME doté d’un budget d’environ 220 millions d’euros accompagne des produits “qui ont fait leurs preuves” d’un point de vue technique et concourent à un meilleur usage des ressources naturelles pour une croissance durable.

L’investissement de nouveaux dispositifs concerne désormais un spectre plus large de secteurs, de l’amélioration des matières à l’optimisation des technologies dans les processus de production et de consommation. Plusieurs freins néanmoins : la disponibilité de solutions techniques et de personnels qualifiés, le financement et l’incertitude du marché.

Alors, utopie ou réalité ?